Ça se passait donc...
dans la Châtellenie d'Awel, à l'avant-veille de la nouvelle année
dans les salons de l'hôtel particulier de La Malibran, entre l'Amour fou et
les pompes funèbres J. Van Gossum et fils,
dans le monde des sorciers, à l'occasion d'une de mes aventures
de hibou à oreilles de chat,
Après avoir laissé tomber...
- Paaaardon, Mère !
- Zoba ! Niama ! Bécil ! Je ne suis pas ta mère! Comment oses-tu encore ? Muyaka ! Indigent ! Niangalakata ! Qui t'as permis de me parler ? Je suis quand même une autorité, non ? Je vais te faire chicoter !
- Kosilika te, Excellence ! Je suis vraiment désolé !
- Et voilà que tu cochonnes mon libaya, à présent !!! Maladroit, manchot, bénêt !!! Espèce d'individu !!! Attends un peu que je t'attrape !!! Tu vas sentir tes fesses !!!
- Bolimbisa ngai, Mama !
- Zoba ! Niama ! Bécil ! Je ne suis pas ta mère! Comment oses-tu encore ? Muyaka ! Indigent ! Niangalakata ! Qui t'as permis de me parler ? Je suis quand même une autorité, non ? Je vais te faire chicoter !
- Kosilika te, Excellence ! Je suis vraiment désolé !
- Et voilà que tu cochonnes mon libaya, à présent !!! Maladroit, manchot, bénêt !!! Espèce d'individu !!! Attends un peu que je t'attrape !!! Tu vas sentir tes fesses !!!
- Bolimbisa ngai, Mama !
- Je ne suis pas ta mère, ballot !!! Je suis une autorité !!!
- J'arrive tout de suite, Excellence ! Bolimbisa ngai ! Je cours chercher des secours !
- J'arrive tout de suite, Excellence ! Bolimbisa ngai ! Je cours chercher des secours !
- Attends, j'te dis !!! Tu crois peut-être que tu vas t'en tirer comme ça
??? Je vais te changer en pourceau !!! Mosutu !!! Kuluna !!! Terroriste !!!
- Nazoya, Excellence ! J'arriiiive !
- Naaat !!!
- Naaat !!!
une praline Dierckx dans le décolleté profond du libaya de La
Malibran, j'ai prétexté me rendre à la cuisine (la porte des
« privés » du bel étage demeurant, et pour cause, obstinément
close) y chercher une serviette ou une éponge ou n'importe quoi pour réparer
les dégâts que mon apparente maladresse avait provoqués.
Je me suis... glissé dans la foule et je suis... parvenu à... échapper au regard vigilant de l'onctueux agent Nat et à... me soustraire à la colère de La Malibran et à... disparaître
juste avant que ma praline Dierckx
(1) … Un pois sauteur enrobé de
chocolat ? Une truffe au chocolat se liquéfiant à la chaleur
d'un sein fumant ? Une praline télécommandée dotée
d'une charge explosive et d'un mini-détonateur et répondant à la
moindre sollicitation ?, ne pète à la figure de La
Malibran... Schlag !, comme un bouchon de champagne très agité,
en laissant échapper du fluide glacial, du sulfure d'ammonium ou de la
bile de crocodile, une espèce de bouillie infâme, un liquide visqueux verdâtre,
jaunâtre ou marron foncé dégageant une odeur perfide, putride et nauséabonde...
Je me suis donc éclipsé au plus vite et
- Ozokende wapi, fieu ? Vite-vite comme ça, oh ! Que se passe-t-il ? C'est chelou ! Qu'est-ce que tu fuis ? Problème ezali ? Faut-il craindre le piiire ?
- Teee ! Problème ezali te, Chef ! On m'a envoyé ! Nazoya ! J'arriiiive !
- Ozokende wapi, fieu ? Vite-vite comme ça, oh ! Que se passe-t-il ? C'est chelou ! Qu'est-ce que tu fuis ? Problème ezali ? Faut-il craindre le piiire ?
- Teee ! Problème ezali te, Chef ! On m'a envoyé ! Nazoya ! J'arriiiive !
échappant à la surveillance de l'agent Nat, je suis descendu à la
cave où je me suis débarrassé rapidement de ma perruque et
de mes bas blancs que j'ai roulés en boule et enfoncés au plus profond
d'un panier de linge sale.
J'ai alors rejoint une armoire hors service, rongée par les vers de bois, qui m'attendait au sous-sol et me suis prestement dissimulé à l'intérieur.
Ce n'était pas un meuble ordinaire, cette armoire vermoulue qui sommeillait depuis
toujours dans un corridor peu fréquenté et mal éclairé du
sous-sol de l'hôtel particulier de La Malibran, juste à côté de
la buanderie et de la salle de repassage. Elle avait peu à peu été laissée à l'abandon
parce peu pratique, délabrée, trop vieille, trop moche et trop pleine
(disait-on) de malices et de diableries (2).
Elle était tellement vieille qu'on ne la même voyait même pas et tellement
moche qu'on ne la regardait même plus et tellement remplie (disait-on) de
maléfices supposés que quelques-uns des (au moins sept) collaborateurs les plus
proches de La Malibran avait cru faire une bonne affaire en la revendant pour
leur poche, au prix du bois de chauffage, à un brocanteur de passage qui devait
venir en prendre livraison prochainement..
Et c'est cette armoire que mes complices avaient au préalable repérée,
dépoussiérée, nettoyée et approvisionnée...
Et c'est dans cette armoire qu'ils avaient installé un
ebonga, destiné à rendre mon séjour moins inconfortable, un
kitunga de première nécessité (contenant une lampe depoche, une
kwanga et des makayabo, une calebasse de masanga ya mbila), une salopette de
sentinelle ou d'éboueur et un sac en plastique noir pouvant servir
d'urinal.
De quoi tenir un siège pendant quelques heures, au moins jusqu'au matin,
quoi !
Entre-temps, dans la résidence de La Malibran et dans toute la châtellenie
d'Awel, la confusion était totale et la panique générale.
La patrie avait été déclarée en danger, menacée par une "hystérie
mortifère démoniaque sur base de radicalisme d'addiction et peut-être aussi d'éléments de substances"... et des mesures drastiques de sauvegarde avaient
aussitôt été prises par Ysengrin, l'Administrateur général des
services et criées sur toutes les places et placardées sur tous les murs de la
châtellenie par Tshaku, l'ameuteur public : déploiement des corps habillés en
bleu et en kaki dans tous les lieux stratégiques de la sorcellerie (place
Fernand Cocq, place Flagey, place du Châtelain, place
de la Tulipe, Porte Louise, petite Suisse, ULB, UPN, Palais de la Nation, Boulevard
Triomphal et place du Cinquantenaire, échangeur de Limete et monument Lumumba,
gare centrale et "place des Evolués", place Sainte-Thérèse, Beach
Ngobila, Aéro-Ndjili, Hôpital ex-Mama Yemo, Hôpital de la rue Paquot, Résidence
Van Oo, square du Vieux Tilleul, etc) et aux alentours de différents lieux de rencontres citoyennes, à
forte concentration de contestataires et d'opposants, du groupement
quasi-autonome d'Awel-Matonge (à la place Lumumba, sur la chaussée de
Wavre et la rue de la Paix, à la place des Artistes,à la place Golgotha, à l'YMCA, au Bloc de
Bandal, à l'espace Mutombo Bwitshi - ex-Jardin Moto na Moto Abongisa -, au centre culturel Eloko ya Makasi dans le quartier Masina Sans Fil, dans le couloir de la Mort, devant la statue de Freddy
Tsimba rue Ernest Solvay, dans les galeries d'Awel, sur le trottoir qui
fait face à la Porte de l'Amour de Chéri Samba, dans la rue Francart et la rue
de Dublin, à la Calebasse et au Carrefour, dans le restaurant Inzia, au Kuumba,
à la Mandibule, etc), modification du plan de circulation, coupure de la
connexion internet, suspension du service de messagerie SMS, interdiction de RIIIR et...
- Ce n'est pas autorisé par le réglement ! C'est illégal ! protestent les généraux Gimana et Nyama, sorciers régaliens et légataires en charge de la répression
- C'est porter atteinte au moral des troupes ! abonde Nat.
de faire des selfies avec les corps habillés en bleu ou en kaki, interruption des réseaux sociaux, du trafic aérien et des transactions bancaires, bouclage du quartier Beau vent à Lingwala et fouille approfondie (à la recherche de cacas Molotov et de ballotins de pralines cachés sous des feuilles servant à emballer les kwanga ou, à défaut, de bouteilles de lotoko ou de supu na tolo, de boulettes de diamba et de pagnes de contrebande ou, à défaut encore, de couteaux de cuisine, de tessons de bouteilles, de cutters ou de paires de ciseaux) de toutes les parcelles, maisons, entreprises, églises et hôtels situés derrière le Palais du Peuple, verrouillage des salons de coiffure, des cybercafés, des agences de fret et de Western Union, fermeture des nganda, des malewa, des tripots, des boîtes de nuit, des sièges de partis politiques et des églises, report des mariages, des communions et des matchs de football, soumission de tous les suspects au détecteur de pensées, interdiction des collations de grades académiques, des matanga, des concerts, des attroupements de clients devant les arrêts de bus, des caravanes publicitaires et des cortèges funèbres...
- Ce n'est pas autorisé par le réglement ! C'est illégal ! protestent les généraux Gimana et Nyama, sorciers régaliens et légataires en charge de la répression
- C'est porter atteinte au moral des troupes ! abonde Nat.
de faire des selfies avec les corps habillés en bleu ou en kaki, interruption des réseaux sociaux, du trafic aérien et des transactions bancaires, bouclage du quartier Beau vent à Lingwala et fouille approfondie (à la recherche de cacas Molotov et de ballotins de pralines cachés sous des feuilles servant à emballer les kwanga ou, à défaut, de bouteilles de lotoko ou de supu na tolo, de boulettes de diamba et de pagnes de contrebande ou, à défaut encore, de couteaux de cuisine, de tessons de bouteilles, de cutters ou de paires de ciseaux) de toutes les parcelles, maisons, entreprises, églises et hôtels situés derrière le Palais du Peuple, verrouillage des salons de coiffure, des cybercafés, des agences de fret et de Western Union, fermeture des nganda, des malewa, des tripots, des boîtes de nuit, des sièges de partis politiques et des églises, report des mariages, des communions et des matchs de football, soumission de tous les suspects au détecteur de pensées, interdiction des collations de grades académiques, des matanga, des concerts, des attroupements de clients devant les arrêts de bus, des caravanes publicitaires et des cortèges funèbres...
La rumeur courait, en effet, qu'un serveur immigré
et sans papiers aurait débarqué d'une baleinière au port privé de
Liaki et serait ainsi parvenu à pénétrer au coeur même de
la châtellenie sans se faire repérer et arrêter par les "services".
Et qu'il aurait réussi à s'introduire dans l'hôtel
particulier de La Malibran où cette grande dame de la sorcellerie
fêtait son anniversaire et la nouvelle année.
Et qu'il aurait eu tout le temps...
- Vous vous imaginez ? Est-ce que vous vous rendez compte seulement ?
- Rassurez-vous, Excellence, tout est désormais sous contrôle...
- Tufi na yo ! Vous ne savez pas qui je suis ! Vous allez devoir vous expliquer ! Vous allez avoir de gros problèmes !
- Rassurez-vous, Excellence, tout est désormais sous contrôle...
- Tufi na yo ! Vous ne savez pas qui je suis ! Vous allez devoir vous expliquer ! Vous allez avoir de gros problèmes !
de faire circuler, en long, en large et en travers, un
plateau de gourmandises infectées parmi les invités de cette grande dame
de la sorcellerie : blattes siffleuses, tarentules aux poils
urticants, geckos au regard maléfique et pralines offensives, fourrées
au poil à gratter, au fluide glacial ou à la bile de
crocodile... au tangawisi, au pili-pili, à la bave de
crapaud ou au jus de limace... à la peinture hydrophobe, à
la boule puante ou à la gélignite.
Et que ce faux-serveur, ce kuluna, ce serveur fantôme ou fantasmé se serait déguisé en sentinelle ou en éboueur et aurait réussi... Diaboliquement ! En effectuant quelque tour de magie !, à disparaître, s'évaporer ou se volatiliser..
Et qu'il aurait modifié son apparence, changé de physionomie ou même de sexe et serait désormais aussi introuvable qu'un noyau de cerise ou un plomb de carabine planqué au plus profond d'un pot de confiture de myrtilles.
Et que ce faux-serveur, ce kuluna, ce serveur fantôme ou fantasmé se serait déguisé en sentinelle ou en éboueur et aurait réussi... Diaboliquement ! En effectuant quelque tour de magie !, à disparaître, s'évaporer ou se volatiliser..
Et qu'il aurait modifié son apparence, changé de physionomie ou même de sexe et serait désormais aussi introuvable qu'un noyau de cerise ou un plomb de carabine planqué au plus profond d'un pot de confiture de myrtilles.
Et qu'il aurait bénéficié de nombreuses complicités que les
"services" s'attacheraint à identifier et à localiser.
Et que les corps habillé en bleu et en kaki auraient à cet effet
dressé des barrages, mené de nombreuses perquisitions à Yolo, à Lingwala et
dans le groupement quasi-autonome d'Awel-Matonge, contrôlé de nombreuses
identités et procédé à plusieurs interpellations de personnes suspectes.
Et que La Malibran aurait le sentiment d'avoir été trahie par
quelques-uns de ses (au moins sept) collaborateurs les plus proches.
Et qu'elle les aurait changé en pourceaux, tous soupçonnés de
négligence ou de complicité.
Et qu'elle aurait vivement recommandé à Tshaku, l'ameuteur public, d'interdire aux journalistes de s'étendre sur l'incident...
- Le truc n'a pas intérêt à passer sur antenne ! Qu'ils se contentent d'évoquer la menace terroriste "en général" !
Et qu'elle aurait vivement recommandé à Tshaku, l'ameuteur public, d'interdire aux journalistes de s'étendre sur l'incident...
- Le truc n'a pas intérêt à passer sur antenne ! Qu'ils se contentent d'évoquer la menace terroriste "en général" !
Et qu'elle aurait demandé à l’agent Nat (alias "Nzambe Alalaka
Te",alais "L'Evêque", alias "Al-Baljiki"), un agent haut-gradé de l'ex-Agence Nationale de Documentation ou de
l'ex-Service d'Action et de Renseignements Militaires...
- Je vous tiens pour personnellement responsable, Nat ! J'en référerai à la Haute Hiérarchie ! Aujourd'hui même ! Cette affaire ne restera
pas sans suite !
et au général***, prélat inquisiteur et persécuteur du Saint-Office...
- Je vous saurais gré, général, de vous saisir personnellement du dossier !
et au général***, prélat inquisiteur et persécuteur du Saint-Office...
- Je vous saurais gré, général, de vous saisir personnellement du dossier !
de faire enfermer tous les suspects... Capables donc coupables !, à
l'Université Libre de Makala.
Et que ce kuluna, ce serveur engagé en extra que tout le
monde recherchait, serait un dangereux terroriste à la solde de
puissances étrangères.
Ça se passait donc dans un hôtel particulier
Et j'étais devenu un terroriste.
Bon, bref, ce n'était vraiment pas le moment de s'attarder, de RIIIR ou de
sarcasmer...
Il fallait pister, disparaître à jamais, se faire oublier ailleurs !
Ndlr: (2016) :Les lectionnaires pressés-pressés (ceux qui n'ont vraiment "pas que ça à
faire" et qui veulent néanmoins connaître la suite de l'histoire
du terroriste à la praline et de son exfiltration... sans devoir se taper une
théorie du roman-guérilla, le concept alémien du roman "tonneau du
villageois" ou un signalement plus croustillant du crapuleux général***)
peuvent toujours cliquer sur:
http://ssc-02.blogspot.be/2015/04/peu-de-temps-apres-lattentat-la-praline.html |
---------------------------------------------------
(1) Une « praline » (comme on dit au Royaume de Jupiler) ou un « bonbon au
chocolat » (comme on dit en France... d'après le petit Robert 1, 1984) ou une
« bouchée de chocolat » et dont, en l'occurrence, le chocolat
enrobait une boule puante explosive (en lieu et place de la liqueur douceâtre
qu'on y trouve habituellement) ... mais ça pourrait bientôt être tout autre
chose : un roman-réalité utilisé comme arme contre la crapulerie.
Rappelons à ce propos qu'en matière de fabrication de pralines
- Oublions le cacao et essayons l'huile de palme ! Ou réduisons le taux de cacao en ajoutant du sucre et du gras !
le Royaume de Jupiler est en mesure
- Mais certes pas Monik Dierckx, la divine chocolatière de
la rue explosive Gaucheret, qui continue de respecter la tradition !
de donner des leçons (de savoir-faire... d'arrangements boutiquiers, plan foireux, atermoiements funestes et précipitations inconsidérées, astuces, feintes, esquives, débrouilles ou dérives : zijn plan trekken... et un carnet de commandes toujours bien rempli) au monde entier !
de donner des leçons (de savoir-faire... d'arrangements boutiquiers, plan foireux, atermoiements funestes et précipitations inconsidérées, astuces, feintes, esquives, débrouilles ou dérives : zijn plan trekken... et un carnet de commandes toujours bien rempli) au monde entier !
(2) On disait même que ce vieux meuble oublié et laissé à l'abandon, à l'intérieur duquel je m'étais caché était doué d'une mémoire historique prodigieuse. Et qu'il disposait d'une écoutille ou d'un passage secret qu'il mettait au service de ses utilisateurs: une écoutille par laquelle les prêtres réfractaires du XVIIIe siècle accédaient directement au XIXe siècle d'où ils pouvaient être rapidement exfiltrés en Syrie, en Irak ou en Argentine, avec l'aide du Vatican, à travers un réseau d'égouts, de souterrains et de catacombes dont tout le monde ignorait l'existence... ou encore un passage secret à l'arrière, donnant sur un escalier dérobé, donnant sur une salle basse, donnant sur un parking souterrain et qui avait permis aux anarchistes du XXe siècle de passer sans embûche au XXIe siècle et d'y trouver refuge dans un espace technique bétonné, au sous-sol de la place Flagey ou de la rue de la Tulipe, normalement réservé aux clochards, aux pigeons et aux oiseaux de nuit...
Mais c'est aussi cette armoire d'illusionniste qui allait à présent, à la
veille du réveillon de nouvelle année et avec l'aide d'un marchand de
loques, de ferrailles et de meubles d'occasion de ma connaissance, me
permettre de passer sans encombres de la Châtellenie
d'Awel à la République d'Awoyo, du Royaume de Jupiler à la République
autocratique du Luabongo. Et aussi, techniquement, de la première à la
deuxième série de séquences de mon roman-feuilleton
------------------------
Les dernières (importantes) corrections datent du 31 décembre 2015.
Ndlr : Vous êtes déjà perdu(e)s ?
Et vous
vous demandez où trouver un plan de la ville, un menu de la semaine ou une
table des matières quelconque… et comment avoir accès à chacune des
différentes séries de séquences du buku « sorciers, services et
crapuleux » ?
|
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